tag:blogger.com,1999:blog-6586848985376603292.post1375123499612490705..comments2016-10-14T07:36:15.665-07:00Comments on Claire Gratias, écrivain: Du "Signe de K1" à "U4"Nec Mergitur 17http://www.blogger.com/profile/04370633988543334282noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-6586848985376603292.post-71722837103899256412016-10-14T07:36:15.665-07:002016-10-14T07:36:15.665-07:00Je ne vois, dans ce que j'ai écrit, aucune rai...Je ne vois, dans ce que j'ai écrit, aucune raison d'éprouver ni stupeur, ni tristesse. Je vous invite donc à relire ce texte calmement et objectivement, ainsi que ma réponse à Florence Hinckel. J'éprouve, en revanche, à la lecture de votre tardif message, le regret de voir mon propos considérablement simplifié, voire caricaturé, alors qu'il se voulait nuancé. C'est bien dommage…Nec Mergitur 17https://www.blogger.com/profile/04370633988543334282noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6586848985376603292.post-3430555449361857292016-10-14T07:06:21.207-07:002016-10-14T07:06:21.207-07:00C'est avec stupeur et tristesse que nous décou...C'est avec stupeur et tristesse que nous découvrons cette tribune. Les romans et les films (dystopiques, forcément) dans lesquels un virus décime une grande partie de la population (laissant tout de même quelques survivants, forcément, et généralement des ados en littérature de jeunesse) sont tout simplement innombrables. Ne parlons pas de ceux qui ont creusé, sous toutes les formes possibles, le motif du voyage dans le passé. L'originalité du projet U4, né de l'imagination de quatre auteurs, n'est pas d'avoir associé ces deux thématiques. Quant à l'intertextualité avec l'œuvre de Giono, il nous plaît de penser que d'autres auteurs y auront recours encore, consciemment ou inconsciemment. Nous aurions été heureux, Claire, d'en parler directement avec toi.<br /><br />L'équipe des éditions Syros<br />Editions Syroshttps://www.blogger.com/profile/06307244686198800986noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6586848985376603292.post-2169625765412451442016-03-21T01:52:08.336-07:002016-03-21T01:52:08.336-07:00Bonjour Florence, et merci beaucoup pour ton messa...Bonjour Florence, et merci beaucoup pour ton message. Sois rassurée, je n'éprouve aucun sentiment d'injustice, ceci fait partie des aléas du métier, et chacun d'entre nous s'y retrouve confronté un jour ou l'autre. Si on ne l'accepte pas, autant changer de job ;-) Pour ce qui est de notre amour commun pour Giono, ma jeunesse passée à Aix y est sans doute pour quelque chose !!! En tout cas, si, de là où il est, il peut suivre nos échanges, il en sera certainement flatté, et c'est heureux. Sans doute se remémore-t-il même ce passage du "Hussard" (page 67) : "Angélo se demanda tout à coup s'il n'y avait pas, quelque part, mêlée à l'univers, une énorme plaisanterie." Phrase à laquelle fait écho, page 106, celle-ci : "Il y a certainement quelque part quelqu'un qui doit bien rire." Alors rions ensemble, chère Florence, et levons nos verres à la santé de Yannis, Jules, Stéphane et Koridwen. Je t'embrasse, ClaireNec Mergitur 17https://www.blogger.com/profile/04370633988543334282noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6586848985376603292.post-64189855521557442012016-03-21T01:26:27.385-07:002016-03-21T01:26:27.385-07:00Coucou chère Claire, je découvre ce billet avec la...Coucou chère Claire, je découvre ce billet avec la même surprise avec laquelle tu as dû lire U4 ! En effet je n'ai pas lu ton K1 et j'ignorais que tu y faisais tant référence à Giono. Et finalement heureusement car je n'aurais alors jamais osé faire de telles références au hussard ! Mais en effet c'est logique, bien sûr. Comment ne pas penser à ces scènes quand on connaît bien le roman, qu'on l'a tant aimé (qu'en plus je vis dans le sud où chaque lumière me rappelle Giono), et qu'on écrit sur une épidémie ? Mon co-auteur Vincent a pour sa part aussi pensé au decameron (références sur les noms dans tout U4), et je fais aussi des références à La Route de Cormac Mac Carthy. Le sujet est en effet porteur depuis longtemps, pas nouveau, et peu original (quant au retour dans le temps, l'idée n'est exploitée que dans un roman d'U4, les autres étant ultra-réalistes). Ce n'est même pas simplement une conscience de notre époque, mais de toute époque. Pour information, Claire, et pour dédouaner Syros (en tout cas concernant les références, pas le sujet, en effet), c'est Nathan qui a édité mon texte, les éditrices de Syros connaissaient moins le mien. Le hussard est aussi pour moi, comme toi, une oeuvre parmi celles qui m'ont le plus touchée, cela prouve nos sensibilités proches. Je suis désolée que K1 n'ait pas été autant porté que U4, mais les éditeurs se sont certainement dit qu'avec 4 auteurs et 4 livres publiés simultanément ils prenaient moins de risques. Mais je comprends le sentiment d'injustice. Sinon je trouve rassurant d'être imprégnée d'une mémoire collective et d'un patrimoine commun, et que Giono ne soit pas oublié. Je suis aussi heureuse car rares sont ceux qui voient les références à ces passages précis du hussard. Je t'embrasse. FlorenceAnonymoushttps://www.blogger.com/profile/09143874862653170144noreply@blogger.com